Le voyage de Cora Vertebouteille

"Vous devriez vous asseoir sur ce banc", dis-je au Nain tout en m’y asseyant moi même. Je tapotais le banc de la main en signe d’invitation. Il ne se fit pas prier...

“Nous ne nous sommes pas présentés” ....Je me nomme Cora et je suis née dans la Forêt Haute. Mon clan s’est établi peu de temps après ma naissance dans les Dalelands. On m’a toujours dit que je ressemblais beaucoup à ma mère, qui se prénomme Merla Gandépine, mariée à Eldon Vertebouteille, qui est mon père...J’ai été confiée aux bon soins d’un Elfe, Somian Tirfranc durant toute mon adolescence. J’ai su que mon clan était parti vers le nord et je suis présentement à leur recherche. Vous connaissez ma mère?

J'espère simplement que je n'ai pas parlé trop vite, je sens mon coeur battre très fort dans ma poitrine...Il a beau être saoûl, il n'est pas idiot...même si l'espoir est mince, c'est la seule chose valable qui concerne mon clan ou ma famille que j'ai entendue depuis longtemps...Tâchons de ne pas nous emporter trop rapidement Cora me dis-je en moi-même, sentant le rouge me monter aux joues...

J'essuie discrètement ma joue tout en parlant et j'essaie aussi de ne pas trop penser à la bave du Nain qui dégouline doucement le long de ma queue de cheval....(euurrK!)

Celui-ci s’assied tant bien que mal sur le banc à tes cotés. Il tente tant bien que mal à remettre les mots en ordre dans sa tête. Il semble chercher dans le peu d’esprit qu’il lui reste, puis, sortant de sa torpeur…

Barton : Merla…Merla..(tout bas) Oui, Merla ! C’est d’elle que vous tenez ces magnifiques cheveux ? S’il est un ange de personne, une diablesse de combattante,c'est bien C’te Merla. Elle m’a sauvé la vie plus d’une fois vous savez ?

Puis cherchant à nouveau dans ses souvenirs il revint à toi.

Barton : Je me souviens de cette fois où, étant encore dans le pétrin, elle avait fait fuir les trois Orcs qui voulaient ma tête. Oh ohohoh ! Que j’m’en souviens ! Il ont demandé pitié et sont retournés dans leur coin de pays sûrement en hurlant qu’un petit diable les avait presque tués. Ahahaha !

Vous dites que vous la connaissez ? Eh bien vous devez être une grande dame car elle ne s’accoquine qu’avec de bonnes personnes ! Peut-être sauf moi, mais c’tune autre histoire. Son mari Eldon en est un de ces coriaces aussi. Oh oui. Une fierté des bois comme se plait à l’appeler Merla.

Il retombe dans ses pensées, un léger sourire aux lèvres comme un vieux qui se souvient d’une histoire d’enfance passée.

En tout les cas ma tite dame. Si vous avez des problème ici à Elmwood, Barton est là pour vous aider. Car les amis et les connaissances de Merla la belle sont mes amis. Ma vie puisse en dépendre !

Ne se souvenant pas du tout que tu est la fille de Merla et de Eldon il prit une pause dodo. Enfin, c’est ce qui apparaît car les yeux sont clos et une coulisse de bave glisse le long de sa barbe. Difficile de dire s’il dort ou s’il est seulement à moitié mort ivre maintenant.

La nuit est tombée et seules les lumières de la ville te tiennent compagnie. Ça et le gros bonhomme Barton qui apparemment connaît ta famille. Une tranquillité apaisante se laisse sentir à travers la brise nocturne de la ville. On sent l’effervescence des gens mais aussi la gaîté. Rares sont les passants qui ont l’air esseulés ou bien dans le besoin. Plus que trois jours avant le grand tournoi de Mulmaster. Peut-être que cette effervescence est due à ce fameux tournoi. Peut-être est-ce tout simplement parce que ce coin de pays est en paix et prospère. Sait-on jamais. Mais une chose est certaine, les gens sont accueillants ici.

Barton : RRON RON ZZZ RONNNN PFFFF

Bon voilà Barton qui ronfle à présent. De plus, il s’est laissé choir sur toi et il pèse lourd le bougre !! Tu sens son haleine fétide et houblonnée à 5 centimètres de ton visage.

Me débattant tant bien que mal pour me sortir de ma mauvaise posture, les mots de Barton me reviennent en écho: “Merla la belle”....”Eldon, la fierté des bois, comme se plaisait à le dire Merla”... Je me doute bien qu’il y a une bonne raison pour laquelle ils m’ont laissée au bons soins de Somian... Le mystère demeure entier... Mais, IL LES CONNAIT TRÈS BIEN et j’étais avec Somian à l’époque où il dit les avoir côtoyés. Soit il les a connus avant ma naissance et les a revus ensuite après que je sois partie, ou bien il les a connus seulement il y a environ 5 ans et mes parents ne lui ont JAMAIS parlé de moi... Je ne suis pas sûre de ce que je ressens, mais je sens que j’ai besoin d’un verre et de renseignements...

Enfin, je réussis à me dégager. J’ai le coeur qui bat à tout rompre dans ma poitrine... La tête me tourne... Je regarde Barton le Nain qui cuve son alcool affaissé sur le banc... Ce que je donnerais cher pour qu’il soit sobre à l’instant!!! Je passe une main dans ma queue de cheval et me rends compte que le dégâts sont moins important qu’ils ne semblaient l’être. Je suis maintenant imbibée par les vapeurs de fond de tonneau de Barton. Je décide d’entrer dans l’auberge dont l’odeur m’est moins désagréable à présent. Je vais au comptoir et fais signe à l’aubergiste.

L’aubergiste vient me voir et je lui commande un verre d’hydromel. Quand il revient avec mon verre, je m’adresse à lui: “Est-ce que vous connaissez Barton? C’est le nain qui cuve présentement sur le banc devant l’auberge.”

Retire 1pa de ton inventaire.

L’aubergiste te regarde avec un drôle d’air un peu mécontent. Il jette sa serviette sur le comptoir et lève le ton un peu.

Aubergiste : Barton ! Pour peu que je le connais ! Il me doit encore 1 po ! En fait il m’en doit probablement plus mais comme je suis bonnasse et que je tolère qu’il boive à crédit il se peut qu’il ai réussi à soutirer quelques verres de houblon au serveuses gratuitement. Est-ce que cette crapule d’ivrogne vous a quémandé de l’argent ou quoi que ce soit ? Car si c’est le cas je vais le faire foutre dehors de la ville moi ! J’en ai soupé de tolérer cette outre devant ma taverne !! Si en plus il importune mes clients ! Ah ça non! Ne vous en faîte pas madame je vais de ce pas régler ce problème qui aurait dû être résolu beaucoup plus tôt !

Oh et puis, le verre d’hydromel est pour la maison. Non mais !

Sur cette phrase incendiaire, refusant l’argent que tu lui tendais, il retire son tablier et s’apprête à passer de l’autre côté du comptoir.

Remet 1pa dans ton inventaire pirat

“Monsieur!! Non! Il ne m’a aucunement importunée!! Au contraire justement! J’aimerais le revoir demain, quand il sera plus sobre, car je suis à la recherche d’une personne et il la connaît! Ces information sont inestimables pour moi. Alors S.V.P. Monsieur, soyez patient avec lui une soirée de plus... après, faites ce que bon vous semblera.”

Pour le garder derrière son comptoir, je commande un bout de viande marinée séchée et un oeuf dur au vinaigre... Et le remercie pour le verre d’hydromel.

Je lui demande aussi, s’il sait quand et où je peux retrouver Barton demain.

L’aubergiste arrête sa marche vers le bout de comtoir et te regarde un peu incrédule et surpris de la tournure de cette histoire. Il se frotte les mains, un peu mal à l’aise.

Aubergiste : Eh oui bon, …vous dites qu’il connaît quelqu’un que vous cherchez ? Ce serait plutôt surprenant. Il remet son tablier et commence à te servir ce que tu veux manger. Barton est plutôt reconnu comme étant un alcoolique sans le sous prêt à tout pour obtenir un bon verre de vin. Mais c’est vous qui voyez. Mais je vous avertis, s’il tente quoi que ce soit pour vous soutirer de l’argent faites attention car il ne rembourse jamais !

Vous pouvez le retrouver ici sur ce banc dehors en train de cuver son vin ou devant mon auberge en train de chanter. Sinon, il possède une petite maison dans le quartier Nord. Vous n’avez qu’a suivre le sentier de pierres qui mène vers le château, qui est au Nord-est complètement de la ville. Rendu aux portes de la citadelle regardez sur votre droite... il y a une petite ruelle. Prenez la et vous y trouverez une porte bleue un peu moisie. C’est là.

L’aubergiste se parle à lui-même tout bas la main dans la barbe : Mais en fait on se demande comment il a réussi à se gagner ou acheter une maison si près du roi ? Seuls les nobles, habituellement, y ont droit.

L’aubergiste prend ton argent et s’apprête à retourner à ses affaires.

Retire 3 pièces de cuivre de ton inventaire.

Je remercie l’aubergiste puis je prends la petite assiette et mon verre d’hydromel pour me diriger à une petite table à deux chaises qui est libre un peu plus loin.

La fatigue du trajet de la journée commence à se faire sentir. Je mastique tant bien que mal la viande séchée qui est plus coriace qu’elle en a l’air. L’oeuf, par contre, est un vrai délice, juste assez acidulé.

Je prends mon temps, rien ne presse. Je vois deux personnes qui sont, pour le moins que l’on puisse dire, éméchées. Ils parlent et rient très fort. S’ils auraient été un peu plus sobres, je serais bien allée les voir...

J’ai sommeil, mais je n’ai pas envie d’aller me coucher. Ayant terminé mon verre d’hydromel, j’en commande un autre “pour la route”...il faudrait bien que je monte me coucher mais je suis trop excitée pour dormir... Et malgré le fait que ma chambre soit tout de même bien isolée, je sais que tout ce chahut va m’empêcher de dormir... Deux ou trois verres d’hydromel devraient bien m’aider à trouver le sommeil.

Note du MD : Attention à la description des lieux et personnages ! J’ai remplacé tes deux halfelins par 2 personnes.

Enlèves 5 PC à ton inventaire.

Ce deuxième verre d’hydromel est délicieux. En fait meilleur que le premier. Cette situation est très nouvelle pour toi qui n’a ainsi dire jamais ou presque jamais bu de boisson alcoolisée. Du moins pas aussi forte que celle-ci. Il faut dire que les verres qui te sont présentées sont assez gros pour toi. Il te faut les tenir à deux mains si tu veux être capable de les boire.

L’ambiance et la musique bonnes en plus. Il n’y a pas le nain d’hier mais pour toute musique tu as droit à un concert de lyre et de flûte alto. Les airs joué sont mélodieux et doux. Ce qui te rappelle ton enfance avec les fêtes souvent improvisées où ta famille et ton clan prenaient part en chantant et dansant près du feu central. Tu te laisse bercer par la musique le verre à la main et bien enfoncé dans ton siège qui est de plus en plus confortable.

La journée fut longue et assez éprouvante en émotions. Cette pause hydromel arrive à point. L’ivresse te gagne et bien que tu aies déjà ressentit les effets de l’alcool, jamais tu ne t’aies enivrée à ce point. Cette sensation bizarre te fait tout drôle et tu souris à tout le monde qui entre et qui te regarde. Les gens te renvoient ton sourire. Les gens sont vraiment gentils ici à Elmwood.

Une serveuse à la voix d'or et au cheveux long bouclée, couleur de feu se présente avec un sourire, plateau à la main.

Serveuse: Bonsoir est-ce que je peut vous servir un autre verre?

Ton verre est effectivement presque vide et tu te sens tellement bien que tu en reprendrai bien un autre.

Effectue un jet de volonté

Jet de Volonté:
1d20+0=11

La serveuse te regarde avec de grands yeux, le regard souriant attendant ta réponse. Tu n’es pas habituée à boire autant et tu es, et de beaucoup, plus ivre que ce que tu n’as jamais été. Ton raisonnement commence à faire défaut et tu te sens tellement bien dans cette ambiance de gaieté sous un fond de musique légère que tu ne peux faire autrement que d’accepter ce dernier verre d’hydromel qui est si délicieux.

Tu termines ton deuxième verre et prend celui que la serveuse te rapporte. Tu t’écrases carrément dans le fond de ton siège le verre dans les mains. La musique est bonne et tu continue a boire comme si de rien n’était. La puissance alcoolique du breuvage t’es inconnue mais les effets eux, ne tardent pas à se faire sentir.

Tu commences par bailler la bouche toute grande ouverte. En même temps que tu bailles tu ne te rends pas compte que tu te bave dessus légèrement et que tu renverse de petites goutte d’hydromel sur ta tunique. C’est en voulant reprendre une bonne rasade du liquide maudit que tu te rends compte que tu as la bouche pleine de salive. Il en coule le long de ton verre.

Tu n’es vraiment pas du genre à te comporter de la sorte et cette situation de fait soudain t'esclaffer de rire, toutes dents dehors. Tu te calme un peu lorsque tu crois voir que des personnes ont remarqué ton rire aigu et joyeux. Tu te recales confortablement dans ton fauteuil et déposes ton verre sur la table, bien décidée à te calmer un peu. Tu te rends bien compte à ce moment que tu n’es plus du tout toi-même.

La musique devient comme un bourdonnement léger à tes oreilles. La chaise est de plus en plus confortable et tes yeux, sans trop que tu t’en rendes compte, se ferment lentement mais sûrement. Tu commences même à mélanger la musique d’ambiance avec un merveilleux rêve où toi et ta famille fesiez la fête autour d’un feu de camp dans ton village natal. Ta mère et ton père te sourient et toi qui est enfant, tu chantes et danses en riant très fort. Tout le monde est là et s’amuse ferme. Mais bientôt, tu commences à te rendre compte que tu es toute seule et que la fête est terminée depuis un bon moment.

Tu t’inquiètes et cherches tes parents. Tu va voir la maison familiale, personne. Tu vas voir chez ton oncle. Personne non plus. Tu décides donc d’aller voir à la maison de réunion. Grande maison d’importance au village où de grandes décisions se prennent. Tu y entres et tu vois tes parents, tes oncles et tes tantes en grande conversation avec Somian. Mais que fait-il ici ? D’habitude c’est plutôt ton père et toi qui lui rendez visite.

Ils ne t’ont pas vu encore et tu perçois quelques bribes de conversation :

Somian : N’ayez crainte j’en prendrai soins comme si elle était de ma propre famille, ce qui est presque le cas en fait.

Merla : Que Yondalla nous vienne en aide, ma pauvre fille !

Eldon : N’aies crainte ma chérie, Somian est très discret et est capable de rester caché dans la forêt des années durant s’il le faut.

Tante de Cora (sœur de Eldon) : S’il fallait qu’il la trouve….grand dieux et déesses, je n’ose. Pauvre petite…

C’est à ce moment que tu avances un peu plus et que tout le monde se retourne vers toi en t’entendant. Tu te sens toute petite et sans défense...fais un pas de reculons et te rends compte que tu vas tomber dans un immense trou.....

Tu te réveilles en sursaut toute en sueur avec la sensation que tu as passé 2 jours sans boire ni manger sous un soleil brûlant. Tu es perdue et confuse. Tu regardes autour de toi et te rends compte que tu n’es pas dans ta maison familiale, ni même dans l’auberge d’hier. Mais plutôt dans un petite chambre malodorante toute pleine de trucs aussi hétéroclites les uns que les autres. Des peaux de bêtes, des chaudrons, des couvertures de toutes sortes ainsi que différents meubles tous remplis à pleine capacité de toutes sortes de choses. Tu ne connais vraiment pas cet endroit.

Tu t’assieds et constate que tu es toute habillée, les vêtements sales et puant le vin et le tabac à plein nez. Tu as un "haut le corps" et tu as un de ses mal de tête. Tellement que tu aimerais bien pouvoir t'arracher celle-ci et la reprendre plus tard lorsqu’elle te fera moins mal.

Tu es dans une petite chambre et une porte de bois à moitié fermée t’empêche de voir de l’autre coté ce qui s'y trouve. Puis, tu entends du bruit de l’autre coté de la porte. Quelqu’un vient d’ouvrir une porte et marche dans la pièce de l’autre coté. Le son est sourd et clouté.

Que fais tu ?

Malgré le manque évident d’air frais dans cette petite pièce malodorante et encombrée, je prends quelques grandes respirations afin de calmer la nausée qui persiste. Je n’ai point envie d’être malade... Pas aujourd’hui!! J’ai l’impression qu’une famille de pique bois se font un malin plaisir à frapper du bec sur mon pauvre crâne. Je donnerais cher à cet instant précis pour un énorme verre d’eau et une bonne pincée d’herbes médicinales comme seul le guérisseur du village de Somian sait en faire...

Je saute en bas du lit... Je ne suis pas dans ma chambre à l’auberge... Comment ai-je fait pour me rendre jusqu’ici?? Et ce que je pue!!!
Si Blue me renifle, il va sûrement vouloir m’enterrer!!!

Je ne me souviens de rien... Enfin si, ce rêve... Simple rêve ou réminiscence du passé? Je suis sûre que l’alcool a fait remonter un souvenir depuis longtemps enfouis au plus profond de mon esprit... J’entends marcher dans la pièce a coté. Je suis curieuse de voir qui c’est et de plus, j’ai trèèèèèèèèèèèès soif!!!!

Je tire donc la porte vers moi... J’ajuste ce qu’on peut appeler ma tunique, vu l’état où elle est.... Ce que j’ai honte de moi!!! J’ai honte, et je suis très en colère contre mon imprudence.... Une chance que j’ai pris soin de ne pas tout emporter mes “richesses” avec moi.... J’aurais pu me retrouver sans le sous!! Ma bourse me paraît bien légère, mais je n’ai aucun, mais aucun souvenir de ce qui s’est passé après avoir pris ce troisième verre.... Boisson maudite!!

N’y tenant plus, je sors de la pièce.....

Tu ouvres donc la porte cherchant désespérément de l’air frais. Effectivement tu ressens une brise nouvelle à tes narines mais celle-ci est encore pire que l’odeur de vin séché. Une effluve de poisson mort mélangé à des excréments de troll en rut te vient au nez. Tu ne peux t’empêcher de porter ta main à ton nez et malgré tes efforts pour rester digne tu as un haut le cœur incroyable tellement la puanteur te prend à la gorge.

Tu vois un Barton en queue de chemise et pantalon salopette brune en train de s’affairer à brasser une mixture malodorante dans un petit chaudron qui fume légèrement sur le feu de bois qui est allumé dans le foyer. Il se retourne vers toi arborant son même sourire que la veille mais son sourire se change rapidement en regard de stupeur alors qu’il vois ton regard livide et ton teint pâle.

Barton: Ohoh ma p'tite dame ça ne va pas bien du tout !

Fait un jet détection
Fait un jet de vigueur (-1)
Fait un jet de réflexe (-1)

Jet de détection:
1d20+1-1=20

Jet de vigueur:
1d20+2-1=21

Jet de reflexe:
1d20+8-1=17 (une chance, vous auriez commencé à penser que je triche)

Laughing

Tu jettes un rapide regard désespéré dans la pièce à la recherche d’un endroit ou pouvoir vomir car tu sens que cela ne va pas bien du tout. Tu remarques une chaudière en bois dans un coin près de la porte, ça devrait convenir. Tu t’élances comme une gazelle alcoolique vers la chaudière salvatrice et t’enfonces la tête dans celle-ci en espérant ne pas faire trop de bruit lors du « déversement ».

Heureusement pour toi tu en es quitte pour un énorme rot puant qui résonne dans la chaudière comme si quelqu’un avait frappé celle-ci alors que tu étais dedans. La tête veut t’éclater tellement celle-ci te fait souffrir.

Tu te relèves un peu peinarde alors que les grosses mains de Barton se posent sur ton corps dans le seul but de te redresser.

Barton : Eh bien en voilà une qui va se souvenir longtemps de sa première cuite à ce que je vois!

Il s’esclaffe alors dans sa manche pour ne pas trop te manquer de respect. Il te prend dans ses bras et t’allonge sur une espèce de canapé tout plein de coussins aussi gros que toi. La douceur et le moelleux du canapé te fait du bien mais tu as encore un affreux mal de tête.

Barton se dirige vers sa mixture et en verse une rasade dans un petit bol en bois qu’il s’affaire ensuite à refroidir en soufflant légèrement dessus. Il se dirige vers toi avec le bol.

Barton : Allez ma tite-dame buvez ceci. Il va sans dire que c’te truc va vous remonter la tête et le corps.

Il te tend alors le bol qui à tes yeux est beaucoup trop rempli. La seule pensée de boire quelque chose encore te lève le cœur et l’odeur provenant du bol en rajoute. Cette mixture sent le fond de culotte d’itinérant sous un soleil de plomb. Barton te sourit et te tend le bol avec insistance.

En effet, je regarde le bol sans grande conviction... En plus, j’ai si soif! Ça pue et c’est pas très ragoûtant, mais bon... Aux grands maux les grands remèdes!! Je prends le bol avec un petit sourire mi-figue mi-raisin qui se veut en être un de reconnaissance. Je sens qu’il ne veut que m’aider... L’odeur de cette mixture me rappelle un peu celle d’un emplâtre que ma grand-mère préparait pour soigner les chasseurs qui avaient un peu trop fêté leur chasse fructueuse.....

Avant d’engloutir ce mélange, je lui demande de m’apporter un petit verre d’eau, juste pour soulager mon impression de grande soif... Et me rincer la bouche une fois que j’en aurais terminé avec cette horrible mixture....

Je ferme les yeux puis bloque ma respiration pour éviter de sentir ce qu’il y a dans le bol... J’avale le tout a grosses gorgées et une fois terminé, je finis le verre d’eau tout en réprimant un haut le corps qui a failli tout faire ressortir...... Je me recouche sur les coussins, et ferme les yeux pour essayer de calmer les pulsations de mon coeur... chaque battement est une torture...

"Merci" dis-je essayant de sourire à nouveau a Barton, sans grand succès... ayant les dents serrées de douleur... Arrachez-moi la tête quelqu'un!!!
Blue doit bien se demander où je suis passée...il doit avoir hâte de me voir arriver... Nous n'avons jamais été séparés aussi longtemps

Alors que tu es étendue sur les gros coussins tu commences à te sentir un peu mieux et tu reprends des couleurs. Barton sait y faire avec les cuites ! Tu peux même te redresser et ta tête te fait de moins en moins souffrir.

Barton : Bon on se sent mieux ma p’tite dame ? Oui, vous reprenez des couleurs un peu ahahah ! J’ai cru pendant un moment que tout allait sortir. Ne vous en faites pas avec cela j’aurai tout ramassé, j’ai l’habitude un peu (tout bas).

Bon ! Vu que vous commencez à vous sentir mieux je vais peut-être pouvoir vous raconter à jeun ce que j’ai tenté en vain de vous raconter saoul.

Barton s’étire et se prend une chaise en bois. Il s’assied dessus et bourre une pipe qu’il allume avec une grande allumette de bois. La fumée commence à s’élever dans les air alors qu’il en prend quelques bouffées pour faire brûler le tabac.

Barton : Vous savez Cora, vous permettez que je vous appelle Cora ? J’ai rencontré votre mère et votre père à plus d’une reprise et je vais vous épargner les détails de nos rencontres, héhé s’qu’on à pu s’éclater par contre (tout bas). Ce que je peux vous dire est qu’un jour alors qu’il étaient de passage ici à Elmwood, je les reçus avec tout le respect et l’hospitalité reconnues des gens d’Elmwood et des Nains en général. Puis, après quelques heures de bavardages et de blagues sur les Gobelins sans conséquence ta mère nous sommât tous les deux de s’amuser et elle regarda ton père solennellement dans les yeux et lui aussi devint sérieux. Je me demandais bien pourquoi et je devins inquiet tout d’un coup. Nous les Nains savons lorsque la situation devient grave et je savais que celle-ci l’était. Ta mère prit une grande respiration et me raconta le but de leur visite. Laisse-moi te raconter ce qu’ils me racontèrent.

"Merla : Barton nous avons besoins de toi. En fait nous n’avons pas besoin de toi immédiatement mais le temps viendra où tu devra faire quelque chose pour nous. Nous sommes en visite ici à Elmwood dans le seul but de te rencontrer afin de te demander ton aide future. Ensuite nous repartirons vers la forêt et il se peut que nous ne nous revoyions jamais."

Barton : Il va sans dire que j’ai dégrisé rapidement et je suis devenu tout triste à l’idée de ne plus revoir mes amis. J’avais hâte de savoir pourquoi.

"Merla : Moi et Eldon allons avoir un enfant Barton. C’est une grande nouvelle mais en même temps c’est un grand malheur. Car Yondalla m’est apparue en songe à plusieurs reprises et le malheur risque de s’abattre sur ma fille. Oui c’est une fille Yondalla me l’a dit et elle ne se trompe jamais. Je ne sais pas pourquoi mais Yondalla m’a averti que le mal voudrait s’emparer de mon enfants. Alors la seule chose qu’il me reste à faire est d’élever mon enfant loin de la société, des villes et par le fait même du mal.

Je ne sais pas qui pourrait vouloir du mal à ma fille mais Yondalla m’a promis que s’il mettait la mains sur elle un grand malheur tomberai sur les Terres Oubliées. Je ne sais pas si ce sera suffisant de rester cachés dans la forêt mais s’il venait un temps où cela ne suffirait plus je devrais abandonner ma fille et m'éloigner le plus possible d’elle afin d’attirer la chose qui la cherche à moi. Il viendra un temps où elle cherchera à nous retrouver et c’est là que tu entreras en scène.

Eldon : Oui Barton, tu devras être attentif et avec tes contacts un peu partout dans le coin t’assurer que si une Halfeline solitaire du nom de Cora se promène partout en cherchant des gens de sa race son clan ou ses parents tu devras la prendre en charge et la protéger car elle sera en grand danger."

Barton : À ce moment j’ai voulu les rassurer et leur dire que les Dieux se trompent souvent mais évidemment ta mère n’a rien voulu entendre comme d’habitude, cette tête de mule ! Ils ont dormi chez moi et ensuite au matin ils sont repartis comme ils étaient venus. Simplement avec des au revoirs et un signe de la main. J’ai attendu leur retour prochain comme à l’habitude mais les jours, les semaines, les mois et enfin les années sont passées sans que j’en entende parler. J’ai erré longtemps en pleurs de la perte de mes vieux amis, je suis devenu un peu plus alcoolique qu’a l’habitude mais je suis demeuré quand même vigilant en me renseignant souvent des allées et venues des différents contingents de visiteur dans la région et même plus loin. Je commençais à craindre le pire, que toute ta famille avait été décimée par un malheur quelconque lorsque j’ai entendu parler d’une belle Halfeline seule et peu habituée à la ville qui venait de franchir les murs de la ville. J’en ai conclu que Merla et Eldon étaient peut-être morts ou pire encore. L’alcool m’a donné le courage et la force de te rencontrer et le reste tu le connais.

J’espère simplement qu’il n’est rien arrivé à tes parents. Je suis désolé Cora.

Barton prit une grande bouffée de sa pipe et devint silencieux et perdu dans ses pensées. Tu eu cru même voir une petite larme descendre sur la grosse joue barbue du Nain.

Sur le moment, je ne sais plus si je vais pleurer ou bien simplement m’effondrer... Mes parents seraient morts ou en bien mauvaise posture??
Ils m’auraient abandonnée ou plutôt confiée à la bonne garde de Somian pour me préserver d’un grand malheur? Biensur, Somian a respecté le voeu de mes parents et ne m'a rien dit.... Il m'a préparée à toutes les éventualités possibles, je m'en rends compte aujourd'hui, dans de bien droles de circonstances.... J'aimerais bien revoir Somian... Il me manque tout à coup.....

Ce que je donnerais pour sentir le souffle chaud et régulier de Blue juste derrière moi!! Malgré la présence de Barton, et le bon feu dans l’âtre, je me sens si seule et j’ai si froid!!

Je me lève et:
Venez Barton... Nous allons aller chercher mon chien à l’écurie de l’auberge... Je sais... Je n’ai pas encore mangé... Nous mangerons à notre retour!! Pour l’instant, j’ai plus besoin d’air frais que ne nourriture. Je dois avouer que mon chien me manque énormément tout à coup... Il est tout ce que j’ai au monde pour l’instant. Allez!! Ne faites pas cette tête! On va chercher Blue et on revient tout de suite après, promis!!!

J’espère seulement que mon entrain forcé masque mon désespoir.... J’ai vraiment l’impression qu’il y a un gouffre qui vient de s’ouvrir tout que je vais y tomber sans fin, un peu comme dans mon rêve éthylique...

Barton, sur sa chaise, reste un peu surpris mais finalement se lève et jette son reste de tabac dans le feu. Il s’étire un peu et se frotte le visage vigoureusement.!

Barton :Eh bien ! De l’action ! Des actes et du mouvement ! Haha ! Voilà le genre de chose que ton père aurait fait ! Allons chercher ce chien !

Il prend son petit sac en bandouillère et te suis au pas.

Je sors dehors sans plus de cérémonies et attends patiemment que Barton aie fermé la porte de sa chaumière. Je me rends compte que je suis dans un tout autre quartier de la ville, et que j’aurais bien du mal à m’y retrouver sans demander de renseignements... Je m’ajuste au pas de Barton et nous descendons la rue en direction de l’auberge.

Barton en profite pour me montrer du doigt quelques architectures et y va de quelques commentaires... Je lui demande: “Est-ce que vous allez à la grande Mulmaster pour le grand tournois?” Je n’attends pas sa réponse, toute excitée à l‘idée de participer à ce tournois, en bonne Halfeline que je suis... “Moi, je compte bien m’y rendre, pour fermer le clapet à ces quelques blanc becs qui se vantent d’être les meilleurs a l’épreuve de fronde et à l’arc... Somian m’a beaucoup appris durant les années que j’ai passées avec lui... Je crois avoir été une bonne élève, dis-je avec un sourire toute en dents, sentant que l’air frais et la décoction imbuvable de Barton faisaient leurs effets. Je me sentais carrément reprendre vie, ce qui me fit oublier, pour un moment, l’impression qu’un gouffre était prêt a m’avaler à la première occasion.

J’espère énormément qu’il me suivra jusqu’à Mulmaster. Je dois m’avouer que la route, seule, même avec Blue, me pèse un peu. Et puis, mes parents lui ont solennellement demandé de s’occuper de moi s’il me trouvait et malheureusement pour lui, il m’a trouvée... Une grande responsabilité lui incombe à présent. Ma mère lui a dit qu’un grand danger me guettait...

Une fois arrivée a l’auberge, je monte rapidement à ma chambre récupérer mes effets personnels. Je laisse Barton au bas des escaliers et lui dis que j’en ai pour 15 minutes tout au plus. J’en profite pour changer ma tunique et faire ma toilette dans la cuvette qui a été laissée à ma disposition. Je sors de mon sac un peu d’herbe désodorisante et en mets dans l’eau. L’eau est fraîche et me fait le plus grand bien.

Je descends ensuite avec mes bagages et passe au comptoir de l’auberge pour y déposer ma clé. Je me dirige ensuite vers l’écurie pour récupérer Blue.... Blue m’accueille avec un battement de queue si frénétique que c’était à se demander si c’était le chien qui branlait de la queue, ou si c’était la queue qui branlait le chien.

Je récupère la selle et tout le bataclan et j’en profite pour réviser ce qui me manque avant de reprendre la route vers Mulmaster. Je veux partir au plus tard demain matin... Je demanderais a Barton de m’indiquer un marchand qui fait de bons prix, car je dois commencer à faire attention à mes économies.... Je me demande si Barton va vouloir venir avec moi...du moins, je l’espère de tout coeur!!

HRP: Je vais avoir besoin de 4 rations de survie pour moi, une nouvelle tunique de voyage et j'aimerais bien laisser mon linge sale chez une lavandière avant de partir.....

Tu retrouves donc Barton qui semble prendre des couleurs au fur et a mesure que la journée avance. Il sourit de plus en plus et il se peigne même la barbe afin de la rendre un peu plus luisante. Il semble content de t’accompagner et est tout heureux de te rendre service en te guidant à travers la ville ci et là afin de trouver ce que tu cherches.

Tu réussis à trouver tout ce que tu cherches et à bon prix. Pour ce qui est de la lavandière elle te promet que tes vêtements seront propres et parfumés pour tôt demain matin.

La journée est bien avancée lorsque tu as fini toutes tes emplettes et tout à coup tu entends quelque choses en provenance de derrière de la grosse barbe de Barton qui descend jusqu’à sa ceinture.

« Grrrrohollllllll »

Barton te regarde et rougi un brin.

Barton: Euh oui eh bien euh….j’ai un peu faim. Il est quand même passé midi.

Il se redresse fièrement et te regarde dans les yeux et ajoute :

Barton: Par contre, je suis prêt à attendre jusqu'à ce que vos courses soient terminées madame ! La faim passe après la nécessité il va de soit !

Voici les coûts relatifs à tes achats :

4 rations de survie quotidienne : 2 po 2 kg
Tenue de voyage : 1po aucun poids (tu la portes)
Lavandière : 4pc

"Mais à un moment donné, il devient nécessaire de manger!! C'est ma tournée!" dis-je, tout en prennant conscience de mon propre estomac qui faisait écho à celui de Barton.

Comme s'il avait compris nos intentions, Blue renifla l'air et pointa vers une auberge d'où émanait un delicieux fumet de grillades...

La bouche pleine et excitée par le grand appétit de Barton, je le pointe de ma fourchette et lui demande "Alooors...echke wous allez venir a'ec mouua finalement? " Je me rends soudain compte de ma grande impolitesse et rougis jusqu'à la racine des cheveux... J'attends patiemment sa réponse...

Après m'être rincé la bouche avec un peu d'eau, je rajoute " Je ne reprendrais pas de chambre a l'auberge ce soir...j'aime mieux mourir que d'y retourner...s'il le faut, je camperais non loin de la ville et je reviendrais chercher mes vêtements avec de repartir pour Mulmaster demain à la première heure....."

Après ce repas copieux, nous finissons notre thé et je paie ce que je dois a l'aubergiste... (2 repas du jour) vu que je dois attendre au lendemain pour récupérer mes vêtements chez la lavandière, je me laisse guider par Barton....

Retire 6 pa de ton inventaire.

Après quelques rots à peine camouflés, Barton se tamponne le menton avec un vieux mouchoir tout en adoptant une attitude pensive. Puis, il dépose son mouchoir sur la table, fait cul sec avec le petit verre de vin qu’il s’est offert, te regarde quelque peu gêné et ajoute :

Barton : Euh, mam’zelle, en d’autres circonstances je n’oserais demander celà mais étant donné la situation et ma promesse, je ne peux que vous demander de bien vouloir dormir chez moi, cette nuit à tout le moins. J’ai promis de vous protéger et de garder un œil sur vous et je ne pourrais me sentir confortable que lorsque je vous sauraiS en sécurité. Et dormir dans une tente en dehors des murs de la ville ne me semble pas vraiment un endroit sécuritaire.

Évidement je vous laisserais ma chambre et vous pourrez dormir avec ..euh…Blue. Tant qu’à moi, je dormirais sur le sol de la cuisine. Je possède assez de coussins pour me faire un nid douillet.

Plusieurs choses rodent la nuit dehors et ce ne sont pas tous des humanoïdes, si vous voyez ce que je veux dire. Sans compter les voleurs et les brigands. Oh!! ils ne sont pas tous dangereux, la plupart étant des filous ou des pickpockets mais je m’en voudrais de vous avoir laissée dans le danger potentiel.

Barton remit nerveusement son mouchoir dans ses poches en regardant partout, comme pour essayer de faire passer le malaise qui le hantait.

"Dieu merci...il me l'a offert...j'ai donc encore la chance de le convaincre de m'accompagner à Mulmaster!! À moins qu'il ne me fasse languir..."

Oh! merci beaucoup!! j'accepte avec grand plaisir...mais gardez votre lit...l'amas de coussins était très confortable ce matin, et Blue sera très satisfait de dormir près de la cheminée, avec le feu mourant dans l'âtre...

Je gratifie Barton d'un grand sourire et me lève pour payer l'addition à l'aubergiste...Je sors ensuite à l'extérieur pour aller rejoindre Blue, qui nous attend patiemment, profitant du soleil....quand il m'apperçoit, il tape le sol avec sa queue, ce qui fait lever un petit nuage de poussière.

Je l'appelle et il vient poser son arrière train à mes pieds. Ça n'est pas l'envie qui me manque de me laisser porter par Blue jusque chez Barton, mais avec toute la nourriture que je viens tout juste d'avaler, il est préférable pour moi de marcher. J'attends que Barton sorte me rejoindre... Je ne sais pas ce qui le retient à l'intérieur.

Je vois qu'il y a un boucher non loin sur la rue, je vais lui demander au passage s'il n'a pas quelques restes non utilisables pour ses clients, que je pourrais utiliser pour nourrir Blue.

Note du MD : Essais de ne pas trop supposer le paysage ou les marchands (au coin de la rue est un peu trop précis).

Tu trouves un boucher et lui demande s’il ne pourrait se passer d’un os ou deux. Le gros bonhomme à la moustache frisée et au front haut te sourie de toute ses dent blanche.

Boucher : Mais bien sur mademoiselle! J’ai justement 2 ou trois gros os de bœuf tout plein de tiraille et de nerf invendable que je puis bien vous donner. En fait je ne vous demanderai qu’un petit service en échange.

Il s’avance un peu gêné.

Mon fils qui est aussi mon livreur est en fait un grand fainéant qui ne pense qu’a boire et à fêter et malheureusement pour moi c’est aussi mon livreur. Évidemment, mon livreur de fils n’est pas rentré au travail ce matin et je suppose qu’il est encore couché sur un canapé ou un tapis ivre mort quelque part dans la ville je ne sais ou.

Je me demandai si vous ne pourriez en échange de tous les os disponible ici aller porter ses 2 paquets à l’autre bout de la ville du coté est?

Le boucher semble un peu nerveux et se frotte les mains.

Effectue un jet de psychologie

1d20+8=14

Isssshh...

» Cora Vertebouteille
» Un voyage bien loin de chez soi